Chroniques Impériales dans les Terres de Sang

Tour 1:

Les légions impériales du Général Sigfreid Steufen se sont implantées au sud des Terres Arides, entre les marais et la forteresse tenue par les peaux-vertes. En s’établissant, le Général établi une forteresse au nord de ses territoires ainsi qu’une mine au sud. En explorant ses domaines, les hommes découvrirent une relique ainsi qu’une vieille mine encore en état à côté de celle qu’ils ont installée. Le début de cette campagne commençait donc sous de bons augures…
Cependant, une armée Asur s’attaqua à une région impériale, tenue à ce moment par l’Archidiacre Hans Psiffer. Choqué par cette agression par un peuple habituellement allié à l’Empire, le Général Sigfreid Steufen décida des lancer des représailles en lançant un assaut sur une mine du peuple félon.
Pendant ce temps, le Grand Maître Lothar lança ses troupes au sud des marais pour explorer ces régions pour voir si elles feraient un bon site pour les armées impériales.

Lors de la Bataille de Déloyauté, l’Archidiacre Hans Psiffer fit une erreur de jugement en déployant l’artillerie à l’extrémité de son flanc droit avec les flagellants à leur gauche. Les forces magiques furent capricieuses, tuant le mage adverse après deux fiascos ainsi que 5 gardes maritimes (un pour chaque, le fatal étant sur le premier sort lancé par le mage asur) et le mage impérial quelques temps plus tard sur un autre fiasco… De plus le canon, après avoir échoué à détruire le char de Chrace, explosa rapidement. Cependant, placé dans la cavalerie, le prêtre-guerrier réussit une charge lointaine sur les heaumes d’argent avec le général sur le flanc gauche, les faisant fuir et les rattrapant, se dégageant ainsi de la trajectoire du char. Les Hauts-elfes contre-attaquèrent en chargeant les hallebardiers avec ses petites troupes de choc, les lions blancs et les maîtres des épées, et les flagellants avec ses lanciers accompagnés de la Grande Bannière. Les hallebardiers firent face aux lions blancs efficacement (les maîtres des épées ayant raté leur charge) et les anéantirent, ce qui fit paniquer le char. Le corps à corps des flagellants fût particulièrement meurtrier, car même si les lanciers ont été affaiblis par une salve du feu d’enfer, ils restèrent assez nombreux pour causer de nombreuses pertes chez les fanatiques qui ripostèrent violemment. Ce combat dura un moment, le temps que les flagellants soient tués jusqu’au dernier, ne restant que deux lanciers et le porteur de la Grande Bannière blessé. Les hallebardiers chargèrent les maîtres des épées, qui tinrent bon en causant des pertes mais qui finirent par fuir. Les hallebardiers chargèrent entre temps les gardes maritimes, n’ayant pas poursuivis leurs précédents adversaires pour éviter de se faire charger de flancs, les décimant, laissant fuir deux survivants et firent à nouveau face aux restes de l’unité de maîtres des épées qui elle pouvait encore se rallier. Ce qu’elle fît, avant d’être détruite sur une dernière charge des hallebardiers. Sur le flanc gauche, la cavalerie se retourna face au char, qui se rallia. Suite à deux charges entrecoupées par une fuite-ralliement, le char fût détruit, non sans prélever son lot de morts. Le dernier sang de la bataille fût versé par les deux lanciers et l’officier qui les accompagnait, qui chargèrent le feu d’enfer et tuèrent les servants, mais pas l’ingénieur qui fût placé hors de leur mouvement de charge irrésistible…
Cette bataille finit donc sur une victoire mineure de l’Empire mené par l’Archidiacre Hans Psiffer, avec très peu de survivants chez les Hauts-Elfes (5 figurines). L’invasion Asur a été repoussée. Après la bataille, l’armée victorieuse trouva une source de magie. En l’examinant attentivement, il s’avéra qu’il s’agissait d’une relique ainsi que d’un objet magique.

Afin de prévenir d’autres invasions, l’Archidiacre décida de fortifier la région en y faisant construire une forteresse, espérant que celle-ci dissuade les ennemis de l’Empire de tenter de nouvelles attaques.
Le Général Sigfreid Steufen, eu moins de réussite lors de sa contre-attaque. Même si il n’y avait pas d’armée pour lui faire face, il ne réussit pas à prendre le contrôle du territoire visé, ne pouvant se résoudre à passer les populations elfiques sans défense au fil de l’épée. Son code de l'honneur l'empêchant de se livrer à de telles exactions.
Le Grand Maître Lothar, quand à lui, annexa sans trop de problème le territoire convoité, agrandissant ainsi l'emprise impériale sur la région.

Printemps, Tour 2:

Devant son échec, la destruction de la mine convoitée et l’arrivé d’une armée elfique hostile, le Général Sigreif Steufen décide de changer de cible. Il décida en effet d’attaquer la tour de mage contrôlée par les Hauts-Elfes, sachant que ceux-ci ne vont pas laisser ce bâtiment aux impériaux. Mais l’assaut de ce bâtiment peut s’avérer être décisif si il est réussi, dans la quête de la cité volante.

L’archidiacre Hans Psiffer quand à lui lance son armée dans l’exploration du territoire inoccupée, situé entre les terres impériales et les terres des Hauts-Elfes hostiles. Il peut-être plus prudent d’empêcher l’extension de ces ennemis vers le sud.

Le Grand Maître Lothar ramène son armée à la capitale impériale des Terres Arides, en défense en cas d’une contre-attaque des Hauts-Elfes ou de tout autres ennemis possibles…

La bataille de la tour de magie, menée par le Général Sigreid Steufen, fût une encore grande victoire. Mais comme après la précédente bataille, les nobles armées impériales n’ont pu expulser les Hauts-Elfes des territoires convoités…

à venir, chronique de la victoire de raccroc de l'Archidiacre Hans Psiffer sur la Douce Isabeau de Poppits en siège...

Il n'y a pas de victoires de raccroc, juste le génie militaire de tirer profit du côté aléatoire du champ de bataille.

alors je reste fidèle à ton esprit, avec une deuxième victoire militaire dû à mon génie (non non, il me restait 3 pitous, soit un ingénieur, un grand maître et un canon et avec ça j'ai contrôlé deux objectifs)